Que vos cœurs, fils, gardent toujours le lien avec Dieu et Son Dessein.
Malgré tous les défis de ce temps, la plus grande épreuve de l'humanité ne sera pas les guerres, les conflits, les humiliations ou les déséquilibres de la nature. La plus grande épreuve de l'humanité sera de maintenir vivant votre lien avec Dieu au-delà de tout ce qui se passe autour de vous et en vous-mêmes.
Sachez donc que la priorité de vos vies doit être le dialogue avec le Père, la prière sincère et l'unité avec le Créateur, parce que de là naîtra la sagesse, de là naîtra la force d'âme, de là naîtra le silence et la parole juste que vous recherchez tant, de là naîtra le triomphe quand tout le monde voit l'échec, de là naîtra le pas christique quand tout le monde voit l'humiliation et le discrédit, de là naîtra l'amour quand tout le monde a de la rancœur, de là naîtra le pardon quand tout le monde voit la haine et la peur.
Maintenez vos cœurs toujours unis à Dieu, en allumant chaque jour nouveau le lien unique que, en tant qu'humanité, vous avez la capacité de vivre. Si vous regardez seulement vers l'intérieur et placez votre conscience au centre de votre être pour parler à Dieu et écouter Sa réponse, vous saurez, fils, où aller et comment traverser ces temps.
Vous savez déjà que vous êtes sur le Calvaire de ce monde et, sur le Calvaire, vous pourrez confondre vos mentaux et vos cœurs si vous n'êtes pas unis à Dieu. Sur le Calvaire, vous pouvez voir seulement la souffrance, les désaccords et les humiliations, les blessures et les sacrifices, ou vous pouvez regarder et vivre chaque situation à partir du centre de votre propre être, afin que de là, en union avec Dieu, vous puissiez percevoir l'opportunité de renouvellement, de déconstruction, de guérison, de pardon et de rédemption là où beaucoup ne peuvent voir.
Je sais que, face à tout ce que vous vivrez, beaucoup oublieront Nos Paroles, tout comme les apôtres, lorsqu'ils se trouvaient devant le Calvaire, ont oublié tout ce que le Christ leur avait dit. Mais à ceux qui peuvent se souvenir et vivre les impulsions que Nous leur avons données, Je vous demande de prendre soin les uns des autres, de vous rappeler comment se déroule la fin de la fin des temps et de vous souvenir que là où il y a un déséquilibre, vous l'équilibrerez par l'amour et l'abandon de vos vies.
On vous a tout dit et tout donné, mais Nous ne pouvons pas vivre cette épreuve à votre place. Il appartiendra à chacun d'entre vous de rédimer et de transformer la condition humaine en vous-même, de faire le pas vers la porte étroite et d'entrer dans l'école que le Créateur vous offre. Mais vous avez et aurez toujours Ma bénédiction pour cela.
Votre père et ami,
Saint Joseph, le Très Chaste
Après avoir transmis le Message Hebdomadaire, Saint Joseph a célébré le sacrement de l'Eucharistie :
Quand vint le moment pour le Seigneur de faire Son offrande, Son Cœur n'était pas plein de joie, Sa Conscience humaine était angoissée, mais Son Esprit trouvait mystérieusement la joie, l'accomplissement et l'amour.
Pour beaucoup, l'état humain et l'état spirituel sont confondus. Parfois, la conscience humaine trouve l'angoisse là où l'esprit trouve la joie et l'épanouissement. Parfois, la conscience humaine trouve la douleur là où l'esprit renouvelle l'Amour de Dieu.
C'est pourquoi le Seigneur, transcendant Sa condition humaine, a embrassé ce que Son Esprit ressentait et, de là, s'est assis à table avec Ses apôtres, offrant le pain et le vin, offrant Son Corps et Son Sang comme l'unique Agneau capable d'expier les péchés du monde.
Assis à table avec les Siens, le Seigneur prit le pain et, s'unissant profondément à Son Esprit, l'éleva et, ressentant la même offrande que celle qu'Il vivrait sur la Croix, lorsqu'il serait élevé et crucifié, Il offrit Son oui et le Père l'accepta, transformant cette offrande en l'offrande du blé, qui donna également le fruit de Son existence pour être transsubstantié par le Christ. Fusionnant l'Esprit et la matière, transcendant la condition humaine et la condition des éléments, le Christ est devenu le pain qu'Il a rompu et donné aux Siens en disant : « Prenez et mangez, car ceci est Mon Corps, qui sera donné pour vous ».
Nous Te louons, Seigneur, et nous Te bénissons.
Nous Te louons, Seigneur, et nous Te bénissons.
Nous Te louons, Seigneur, et nous Te bénissons.
Amen.
Tout au long de la Cène, le Seigneur a contemplé Ses compagnons et, à travers eux, chaque étape qu'Il franchirait sur le Calvaire. Le Christ savait comment chacun réagirait à ce qu'Il allait vivre. Il a contemplé leurs faiblesses, leur offrande, mais Il a aussi contemplé la force qui émergerait dans leurs cœurs, même après qu'ils L'aient renié. C'est pourquoi le Seigneur leur a pardonné avant même qu'ils n'aient commis le moindre péché. Son Regard Compatissant contemplait les fruits du don de soi de chaque apôtre, et Il espérait seulement que ces mêmes apôtres s'en rendraient compte.
Cet Amour pour Ses compagnons a fortifié le Cœur du Seigneur pour qu'Il puisse prendre le Calice et, en contemplant chaque goutte de sang qui serait versée de Son Corps, renouveler Son offrande. En élevant le Calice, tout comme Son Corps serait élevé sur la Croix, en versant le Sang et l'Eau sur tout le genre humain, sur toute la conscience planétaire, le Christ a renouvelé Son oui et le Créateur l'a accepté, en transformant le vin en Son Sang.
Et, aspirant ardemment à vivre en chaque être sur cette Terre, aspirant ardemment à ce que le code génétique qu'Il vivait et expérimentait dans chacune de Ses cellules qui étaient transformées par chaque le oui que le Christ donnait, Il s'est placé à l'intérieur du vin transformé en Sang et l'a offert à Ses apôtres en disant : « Prenez-en tous et buvez-en, car ceci est Mon Sang, le Sang de l'Alliance Nouvelle et Éternelle, le Sang qui sera versé pour vous pour la rémission de tous les péchés. Faites ceci en mémoire de Moi jusqu'à Mon Retour dans le monde ».
Nous Te louons, Seigneur, et nous Te bénissons.
Nous Te louons, Seigneur, et nous Te bénissons.
Nous Te louons, Seigneur, et nous Te bénissons.
Amen.
Comme cette nuit-là, à chaque nouvelle communion, le Christ contemple Ses compagnons. Il sait déjà, fils, ce que chacun d'entre vous va vivre. Il sait déjà comment vous répondrez à chaque épreuve et que parfois vous Le renierez, mais Il attend de vous que vous fassiez confiance à Son Pardon, que vous reveniez à Son Cœur et que vous témoigniez qu'Il habite en vous bien au-delà de toute misère et de toute condition humaine.
C'est le moment et l'heure, c'est le Nouveau Temps des Nouveaux Christs, et chacun d'entre vous qui communie au Corps du Christ, qui boit de Son Sang et mange de Son Corps, est appelé à être comme Lui sur le Calvaire de ces temps.
Vous avez Ma bénédiction pour cela.
Annoncez la paix et le triomphe de votre Rédempteur dans vos vies et dans toute l'humanité.
Et pour que cette Eucharistie se répande dans la conscience humaine, ravivant le lien entre les hommes et Dieu, entre leurs cœurs et le Cœur du Créateur, réaffirmons chacun notre propre offrande, comme le Christ l'a fait en dialoguant avec Dieu, afin que Sa Volonté s'établisse dans vos vies et dans toutes les vies de ce monde.
Prière : Notre Père.
Même si vous n'en êtes pas dignes, le Seigneur a déjà prononcé Ses Paroles. Sentez-vous sauvés.
Je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.