Vendredi 6 juillet 2018

Messages hebdomadaires
MESSAGE HEBDOMADAIRE DE SAINT JOSEPH, TRANSMIS DANS LA VILLE DE BAD VÖSLAU, AUTRICHE, À LA VOYANTE SŒUR LUCÍA DE JESÚS

Vois que le monde agonise et prie avec le cœur. 

Il ne suffit pas que ton esprit connaisse les évènements du monde et qu’il les juge selon des principes qui, pour toi, sont spirituels.

Vois que la pureté se perd dans les cœurs des êtres humains, chaque fois plus distants de Dieu et abandonnés au monde, mais toi, recherche cette pureté à l’intérieur de toi. 

Il ne suffit pas que tu constates les imperfections des autres et que tu les juges selon des principes qui, pour toi, sont spirituels.

Vois que dans les actions des hommes il y a à chaque fois moins de compassion, moins de pitié, moins de miséricorde et va chercher à la source ces présents pour le monde. 

Il ne suffit pas de voir que les âmes ont soif et d’en juger les raisons en se basant sur des principes qui, pour toi, sont spirituels.

Mon fils, tout ce que Je te dis, c’est pour que tu plonges au plus profond de ton cœur et que tu rencontres Dieu. 

Tes yeux peuvent voir toutes les choses et ton mental peut toutes les juger d’un jugement qui se déguise et se cache dans toute la connaissance que tu as acquise pour te sentir une personne spirituelle, mais la connaissance ne te rend pas spirituel. 

La connaissance est une porte qui s’ouvre pour que tu puisses savoir vers où avancer, et tu pourrais être un expert dans toutes les philosophies, toutes les religions et toutes les sciences, et cependant rester immobile devant ces portes, contemplant les chemins par lesquels tu n’es jamais entrés, parce que la transformation est la seule à faire bouger tes pieds. 

Remplace le jugement par l’impulsion d’être un exemple. 

Remplace la connaissance par l’expérience qui te donne la sagesse et n’aie pas peur de tenter et de voir que c’est difficile et que, dans tes chutes et tes difficultés, tes faiblesses et tes imperfections apparaissent. 

Parce que Je te dis, fils bien-aimé, que c'est lorsque tes yeux sont prêts pas seulement pour connaître le monde, mais aussi et, avant tout, toi-même, que tes pieds commencent à cheminer, même si tu as l’impression d’être immobile.

La grandeur de la sagesse est qu’elle se construit loin du mental et de la compréhension, au plus profond du cœur, et au moment où tu t’y attends le moins, abandonné aux pieds de Dieu, à l’apogée de tes misères, tu te découvres sage, parce que l’amour qui t’as amené là, t’a rendu sage.

Pour cela, fils, vois le monde et observe-le, mais ensuite rencontre-le à l’intérieur de toi et transforme-le. Ainsi, tout s’accomplira.

Ton père et Ami,

Saint Joseph, le Très Chaste